
L’évaluation des comportements socio-adaptatifs à travers l’échelle de « Vineland » – adaptation à la population algérienne-
Dib Zahéra/Enseignantede /Université Djilali Yabess- Sidi Belabess- Algérie.
مقال نشر في مجلة جيل العلوم الانسانية والاجتماعية العدد 35 الصفحة 131.
Abstract:
This study aims at adapting the scale of Vineland, which estimates the adaptive behavior, in Algerian company, and to be able to adapt it, it has needed to measure, it reliability and its validity by using the coefficient of Cronbach Alpha and that of Guttman for the reliability and the facial validity before, it was necessary to make a translation and one retro (rear-view mirror) translation finally the scale is valid and reliable after the signing on a sample of 360 parents.
Keywords: adaptive behavior, scale of Vineland, reliability, validity.
- Introduction:
La psychologie a toujours tenté de s’imposer parmi les autres science set ce grâce à Watson, le premier scientifique ayant fait des expérimentations sur le comportement.
Par la suite, les travaux de Simon et Binet ont réussi à donner une mesure au phénomène psychologique qu’est l’intelligence à travers leur test de mesure du Quotient Intellectuel (QI); l’intelligence est dès lors définie comme la capacité de résoudre un problème et de s’adapter à une situation ou des événements de la vie quotidienne.
Pour les chercheurs qui lui ont succédé, la théorie de Binet n’a pas été suffisante pour l’évaluation générale de l’intelligence d’une personne ; pour d’Howard Gardner l’intelligence ne peut être générale et globalemais multiple, impliquant plusieurs domaines chez la même personne à la fois.
A partir de cela, nous pouvons constater que l’être humain utilise certaines habiletés, dans un fonctionnement qui lui permette une adaptation à son milieu socio-culturel de façon générale et à sa vie domestique de façon particulière, voir une meilleure qualité de vie.
- Les comportements adaptatifs :
La notion du comportement adaptatif a depuis longtemps été liée à la déficience intellectuelle ; cette dernière ne peut être évoquée sans aborder l’intelligence et ses théories depuis Binet jusqu’à Gardner.
L’intelligence est définie comme «une fonction liée à l’organisation et à la structuration des connaissances» (Belleau, J, 2001, p.2).
Selon le même auteur, pour l’évaluation de l’intelligence, il fallait se baser sur la mesure du Quotient Intellectuel (QI) et sur la capacité d’un sujet à résoudre un problème.
Le Apres cette époque, on assiste à l’apparition d’autres théories comme celle de H.Gardner sur l’intelligence multiple; selon cette théorie, l’intelligence multiplerésulte de facteurs environnementaux qui touchent plusieurs secteurs et permet à la personne de s’adapter à son environnement social et culturel.
comportement adaptatif est défini comme l’ensemble des habiletés, le respect des normes et la capacité de s’occuper de soi même dans la vie et l’adaptabilité à l’environnement.
L’organisation mondiale de la santé (OMS, 2001)situe la performance d’un individu dans son environnement ordinaire à travers neuf (9) domaines : l’apprentissage ; l’application des connaissances ; la gestion des tâcheset exigences générales ; la communication ; la mobilité ; l’entretien personnel ; l’activité domestique ; l’activité relationnelle avec autrui ; les grands domaines de la vie, communautaire, social et civique.
Le Diagnostique Statistique des Maladies (DSM-IV ; 1996) utilise le terme de « fonctionnement adaptatif » qui est définit comme la façon dont l’individu fait effectivement face aux exigences de la vie courante et à sa capacité à atteindre les normes d’autonomie personnelles que l’on peut atteindre eu égard à son groupe d’âge particulier, son contexte socioculturel et son environnement.
Quant à la définition donnée par la Classification Internationale des Maladies CIM-10, elle aborde la capacité adaptative sans en donner la définition de cette dernière. Le manuel de l’American Psychological Association (APA), parle de fonctionnement adaptatif déterminé par la mesure du comportement adaptatif (Jacobson et Mullick, 1996).
Le comportement adaptatif est défini selon Luckasson et Borthwick-Dully comme « l’ensemble des habiletés conceptuelles, sociales et pratiques, apprises par l’individu pour lui permettre le fonctionnement dans la vie quotidienne » (2002, p.14).
A partir de ce qui précède, nous pouvons constater la différence des définitions du comportement adaptatif et des outils permettant le diagnostic du retard mental.Parmi les échelles capables de mesurer et d’évaluer les comportements adaptatifs, l’échelle de Vineland semble s’imposer actuellement sur le plan international car ayant fait ses preuves dans le domaine que nous abordons.
- Définition de psychométrie :
Selon Galton (1879) «La psychométrie est l’art d’imposer aux opérations de l’esprit la mesure et le nombre » (Jehel, 2003).
La psychométrie : concerne tous les champs de la psychologie y compris la neuropsychologie mais à l’origine, les tests ont été mis au point pour évaluer les performances intellectuelles (Test d’intelligence de Binet -Simon) pour apprécier les composantes de la personnalité , C’est la science de la mesure de « l’esprit».
- Les caractéristiques psychométriques :
- La fidélité : réfère au degré de constance ou d’exactitude avec lequel un instrument ou technique mesure le concept ou le phénomène qu’il est supposé mesurer.
- La validité : d’un instrument de mesure réfère au degré auquel l’instrument mesure ce qu’il est supposé mesuré. Vu que cette définition est jugée comme restrictive par certains chercheurs.
- La sensibilité : permet une discrimination des troubles et sensibilité au changement.
- Problématique:
Comme avancé plus haut, la psychologie a renforcé son statut scientifique en introduisant la mesure des comportements et des conduites humaines.
Depuis les travaux de F.Galton (1822-1911), la mesure des phénomènes humains est devenue une pratique courante et un label de scientificité. Cependant, les innombrables tests mis au point par les psychologues se heurtent à la question de leur généralisation à tous les groupes sociaux. Cette question poseun problème connu sous le terme des invariants, désignant ce qui est commun et ce qui est diffèrent à deux groupes sociaux soumis à la mesure en psychologie.
Le premier test ayant connu des remises en question indiscutables a été le test de mesure du « QI » mis au point par A. Binet. En effet, des chercheurs comme M. Tort ont relevé que certains items présents dans le test n’étaient pas compris et connus par les enfants issus des milieux ruraux car n’ayant jamais été confrontés dans leur vie quotidienne au contenu des épreuves aux quelles ils étaient soumis.
A partir des constatations établies, un questionnement s’est imposé comme suit: l’intelligence humaine est-elle une faculté « pure » ou plutôt dépendante du milieu du sujet? Cette question a entrainé la remise en cause de la conception dominante à l’époque- de l’intelligence proposée par Spearman (1863-1945) et connue sous le nom de « facteur G ».
Pour cet auteur, l’intelligence se présente sous la forme d’une faculté générale qui comprend une faculté d’adaptation aux diverses situations et expériences. Mise à l’épreuve des comportements, cette théorie est trop « heuristique » pour prendre en compte les particularités comme c’est le cas des comportements socio-adaptatifs qui constituent l’objet de notre recherche.
La question de l’évaluation de l’adaptation sociale est à la fois une vieille question et une question actuelle, car elle remonte initialement à Doll (1930) à travers une première tentative de construction d’une échelle de « maturité sociale ».Aujourd’hui l’échelle de « Vineland » semble s’imposer parmi les multiples échelles existantes dans le monde.
L’échelle de Vineland se réfère à une conception (multiple) de Gardner qui postule qu’un sujet peut à la fois avoir une bonne intelligence (communication, interactions sociales positives…)et une moins bonne intelligence des faits intellectuels, comme dans le cas du retard mental ou l’intelligence pratique est altérée, par contre dans le cas de l’autisme c’est l’intelligence sociale qui est touchée.
Cette échelle n’a pas été créée spécifiquement pour l’évaluation des personnes présentant des troubles envahissants du développement, mais des études ont montré sa pertinence pour le diagnostic de ce trouble.
Dans le cadre de notre recherche, nous nous sommes posé les questionnements suivants :
- Est-ce que l’échelle de Vineland peut être efficace pour la société algérienne ?
- Qu’elle est la place du facteur culturel dans les résultats donnés par cette
échelle?
Pour répondre à nos questionnements de départ, nous avons avancé l’hypothèse suivante :
L’échelle peut être efficace pour la société algérienne si elle est adaptée, et le facteur culturel joue un rôle important.
- La méthodologie:
Pour effectuer cette recherche on a partagé la partie pratique en deux parties, la pré enquête, et l’étude principale et les démarches méthodologiques sont les suivantes :
- La pré enquête :la pré enquête a eu pour but devérifier la version préliminaire de l’échelle de « Vineland », Vérifier la disponibilité de l’échantillon, Vérifier de l’équivalence de l’échelle de « Vineland », pour voir si les items sont bien compris, Et Vérifier les items s’ils s’accordent et sont conformes à la population algérienne.
L’adaptation interculturelle d’un instrument de mesure en sciences sociales, est un processus complexe qui nécessite un investissement intellectuel et temporel important, parce que ce genre de processus doit obéir à des étapes méthodologiques bien définies, pour pouvoir atteindre les objectifs définis que chaque chercheur.
Au cours de notre pré-enquête nous avons fait une traduction de l’échelle de « Vineland » de la langue française vers la langue arabe, et cela pour établir une version préliminaire de l’échelle tout en respectant l’équivalence sémantique et l’équivalence des expressions.
Mais au cours des passations qu’on a effectué nous avons remarqué que la correspondance entre les mots est difficilement réalisable d’une culture à une autre sachant que l’échelle de « Vineland » est une échelle américaine conçue selon le mode de vie et la culture américaine.
Certains items ont posé problèmes, parce qu’ils ne correspondent pas à la réalité dans le mode de vie et la culture algérienne.
- L’étude principale : Pour procéder à l’adaptation de l’échelle de Vineland, nous avons suivi des étapes bien définies et après avoir passé par tous les étapes qu’il faut pour crée une version arabe conforme aux normes méthodologiques et psychométriques.
L’ensemble des 297 items a été traduit de la langue française vers la langue arabe dans le but de la vérification de son équivalence, et cela on la fait durant la pré-enquête.
Pendant l’étude principale, nous avons procédé à la passation avec des entretiens semi-directifs sur un échantillon de 360 parents dispersés sur le territoire algérien, pour qu’il soit représentatif et généraliser les résultats obtenus, pour pouvoir adapter l’échelle de Vineland.
Pour que l’échelle soit valide, elle doit rencontrer des critères de validité concomitante, de validité de construit, et elle doit également présenter des aspects qui assurent sa fidélité, maintenant nous allons indiquer les procédures qu’il faut afin de vérifier la validité d’une échelle traduite :
- la fidélité de la mesure est essentielle afin d’assurer la validité de l’échelle, ce concept réfère à la consistance interne de l’échelle et à sa stabilité temporelle, afin de vérifier la consistance interne de l’échelle, en vérifiant la consistance des items et leurs concordances, pour cela le coefficient approprié pour ça le Cranbach Alpha les valeurs les plus appropriés sont entre 0.70 et 0.95. et le coefficient de Guttman pour confirmer la fidélité de l’échelle de Vineland et les valeurs exiger pour vérifier la consistance interne est entre 0.70 et 0.90.
- la validité de construit repose sur la sélection d’items propres à mesurer des aspects qui devraient être cohérents avec les connaissances théoriques, il se peut que les comportements socio-adaptatifs l’aspect évalué par l’échelle de Vineland se présentent différemment dans notre culture par rapport à la culture américaine originale à l’échelle, bien que l’échelle possède une validité apparente ou faciale, il est important de vérifier si l’échelle traduite grade la structure du construit, et la corrélation entre les différents items que compose l’échelle de Vineland et la cohérence avec les domaines et les sous-domaines.
IV.Présentation de l’échelle Vineland:
Diffusée sous le nom d’Echelle de Maturité Sociale de Vineland en 1965, l’échelle a été créée par E.Doll ; après plusieurs révisions et modifications, la dernière mouture a vu le jour en 1998.
L’échelle Vineland est une échelle conçue pour évaluer les comportements adaptatifs et elle est destinée aux parents des enfants âgés de 0 à 18 ans et 11 mois, et contient 297 items.
- Les fonctions de l’échelle de Vineland :
L’échelle s’adresse à tout sujet âgé de 0 à 18 ans et 11 mois, ainsi qu’à un adulte présentant un retard de développement. Elle s’utilise quand l’évaluation du fonctionnement quotidien est nécessaire à savoir:
- L’évaluation diagnostique : forces et faiblesses du cas et le choix de la prise en charge.
- L’évolution : mesure du changement, contrôle de l’évolution.
- L’évaluation ou recherche : évaluation d’un programme éducatif mis en place.
- Les domaines évalués :
- Communication : Réception, Expression, Ecrit.
- Autonomie vie quotidienne :Personnel, Familial, Social.
- Socialisation :Interactions, Loisirs, Ressources communautaires.
- Motricité : Globale, Fine.
- Troubles du comportement : Partie I, Partie II
- Modalités de passation:
En vue de recueillir les données concernant l’enfant, nous avons réalisé unentretien semi-directif de 20mn à 60 mn avec un adulte (parent ou familier) connaissant bien le comportement de l’enfant dans la vie quotidienne. Le point de départ de l’entretien se fait en fonction de l’âge chronologique de l’enfant.
- La cotation :
La cotation s’effectue de la manière suivante :
- Si l’activité est réalisée de façon satisfaisante et habituelle (même si l’enfant n’a qu’occasionnellement l’opportunité de la réaliser= 2
- Si l’activité est réussie quelquefois ou bien partiellement réussie=1
- Si l’activité n’est jamais réalisée =0
- Si l’activité ne peut être réalisée en raison de facteurs externes limitants= N (n’a pas l’occasion)
- Si le référent ne peut répondre= DK (‘don’t know’)
Le total des notes est ensuite converti en âge de développement dans chaque domaine et sous-domaine (scoreseuil et score plafond).
- Résultats :
- Notes Brutes: Somme des scores obtenus dans chaque domaine.
- Notes Standards: Transformation des notes brutes à l’aide des tables de cotations.
- Age de développement: A chaque note standard correspond un âge de développement.
- Procédure et population étudiée:
- Traduction et adaptation de l’échelle :pour procéder à l’adaptation de l’échelle de Vineland, nous avons suivi des étapes bien définies.
L’ensemble des 297items a été traduit de la langue française vers la langue arabe dans le but de créer une version préliminaire de l’échelle dont les items ont été testés sur un nombre réduit de la population.
L’échelle obtenue a été distribuée à des juges bilingues- après leur avoir expliqué les objectifs de l’étude et les données fondamentales sur l’échelle en question- en vue de tester la fidélité inter-juges. Deux ou plusieurs évaluateurs cotent la cohérence des items et leur fiabilité.
L’étape suivante a consisté en la rétro traduction[30] pour comparer les deux versions, sans que les juges n’aient connaissance de la version originale de l’échelle.
Nous avons par la suite fait une pré-enquête afin de tester l’efficacité de l’échelle dans sa version arabe en prenant en considération les remarques et les observations établies par les juges. La pré-enquête a concerné 70 parents qui ont bien compris les items de l’échelle dans l’ensemble, ce qui nous a permis de déduire l’efficacité de l’échelle et de passe à l’enquête proprement dite.
- Population étudiée et échantillonnage :
Afin de mesurer la validité[31] de l’échelle, sa sensibilité et sa fidélité, il a fallu constituer un échantillon représentatif de la population en faisant appel à des techniques déterminant la taille et le type de l’échantillon.Notre population de recherche est constituée de 360 parents ; pour que l’échantillon soit représentatif de la population, et pour une meilleure fiabilité,c et échantillon aléatoire est obtenu par un tirage au hasard parmi les parents ayant des enfants entre 4ans à 7 ans (au plan national),
- Résultats préliminaires:
Après passation, nous avons procédé au dépouillement des résultats et calculs des scores standards et scores brutes, ainsi que l’âge réel de chaque cas, nous avons obtenu les résultats suivants :
- L’échelle est valide ;
- L’échelle est fiable ou fidèle[32]. Pour mesurer la fidélité de l’échelle on a utilisé les coefficients alpha de Cranbach et Guttman.
Fiabilité / fidélité :
- Le coefficient d’Alpha Cranbach :
N | % | |
Observation valide |
Tableau
1 : les résultats de toutes les variables
Alpha de Cranbach | Nombre d’éléments |
,705 | 4 |
Statistiques de fiabilité
Tableau 2 : les résultats de la fidélité mesurée par alpha Cranbach
Les résultats obtenus et illustrés dans les deux tableaux, nous montrent que l’échelle est fiable et fidèle à 0.705. Selon plusieurs scientifiques et psychométriciens, une valeur alpha supérieure à 0,7 est satisfaisante. Par ailleurs, un résultat supérieur à 0,9 est considéré comme souhaitable.
- Le coefficient de Guttman :
N | % | |
Observation valide |
Tableau 3 : calcul des variables
Statistiques de fiabilité
Lambda 1 |
Tableau 4 : la mesure de fidélité par le coefficient de Guttman.
Selon les résultats obtenus et qui figurent dans le tableau 3 et le tableau 4, on peut dire que l’échelle est fiable et fidèle ; selon les valeurs psychométriques de référence, le niveau d’acceptation du coefficient de Gutmann peut être compris entre 0,60 et 0,65, sachant que chaque variable a été calculée seule pour obtenir plus de fiabilité.
- Discussion :
Les entretiens que nous avons effectué avec les mères, nous montrent la validité de notre hypothèse, à savoir qu’il existe un nombre appréciable d’items dans l’échelle de Vineland auxquels les mères ne peuvent répondre car ne faisant pas partie de leurs univers socio culturel.
Après dépouillement des résultats et calcul des scores obtenus par les enfants, nous avons remarqué un certain « retard » concernant certains sous domaines, voir des domaines comparativement aux normes américaines. Considérant la définition du comportement adaptatif, abordée plus haut, et qui renvoie à la capacité d’un sujet à s’adapter à son environnement socio-culturel, nous pouvons expliquer ces résultats par le fait que l’enfant n’a pas l’habitude de « faire certaines choses »car ne faisant pas partie de son quotidien et non pas par ce qu’il est dans l’incapacité de les faire.
L’échelle de Vineland a été élaborée par « Doll » sur une population américaine en référence au mode de vie et aux comportements quotidiens de cette population ; le mode de vie à les comportements quotidiens de la population algérienne étant différents, le fonctionnement adaptatif de cette population l’est tout aussi bien et devrait faire l’objet de recherches plus approfondies pour en définir les particularités.
- Conclusion :
Enfin et pour conclure cet article, il est important de dire que le comportement adaptatif d’un sujet renvoie à l’aptitude de ce dernier à interagir avec son milieu, à travers deux composantes de l’intelligence, à savoir l’intelligence sociale et l’intelligence pratique. Ces deux formes de l’intelligence constituent la base des comportements adaptatifs mobilisés par un sujet face à un milieu socio-culturel donné.
Bibliographie :
– Beaud, M. (2005). L’art de la thèse. Alger:Casbah Editions.
– Bouletreau, A., Chouanière, D. (1999).Concevoir, Traduire et valider un questionnaire. Institut National de Recherche. Belgique.
– Corroyer, D., Wolff, M. (2003). L’analyse statistique des données en psychologie – Concepts et méthodes de base. Paris : Armand Colin.
– Lavarde, A-M. (2008). Guide méthodologique de la recherche en psychologie. Bruxelles : de boeck.
– Jehel. L (2000). Principe et limites de la psychométrie. Paris
– Mini DSM-IV. (1996). Critères diagnostiques. Paris:Masson.
– Sockeel, P., Marro, C. (2007). Psychométrie et méthodes de tests. Paris: Masson.
– Sparrow, S., Balla, D., Cicchetti, D. (1984, 2005). Vineland, Adaptive BehaviorScales. USA.